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Le 17 juin à 17 h, la Maison du développement durable, en collaboration avec l’Association des professionnels en développement durable (AProDD), Cataléthique, la Section du Québec du Conseil du bâtiment durable du Canada et le bistro Marius, organise un 5 à 7 inédit, soit une première soirée de rencontres sympathiques entre célibataires partageant des valeurs sociales et environnementales. Les participants pourront faire connaissance dans un milieu branché et décontracté avec comme trame sonore les rythmes urbains du DJ Simon White. Au pied d’un mur végétal et d’une baie vitrée de cinq étages, les célibataires pourront du même coup découvrir l’exposition Réduction intentionnelle de paysage (R.I.P.) de Frédéric Dubois, qui commencera le jour même. L’occasion idéale de briser la glace.

« Il y a beaucoup d’activités de réseautage entre professionnels du développement durable, mais aucune offre pour les célibataires qui cherchent à rencontrer des gens qui ont à cœur l’environnement et les droits humains », résume Amélie Ferland, directrice des communications et de la programmation de la Maison du développement durable. « On s’est dit que la programmation d’été de la Maison, plus festive et ludique, était un bon moment pour tester une telle initiative avec nos partenaires », ajoute-t-elle.

Le contexte : un vernissage

L’activité se tiendra dans le cadre du vernissage de l’exposition Réduction intentionnelle de paysage (R.I.P.) de Frédéric Dubois présentée à la Maison du 17 juin au 15 juillet 2014, grâce au soutien de l’arrondissement de Ville-Marie.

Le vernissage est ouvert aussi aux non-célibataires. Un verre gratuit sera offert aux premiers arrivés. Durée : 2 h. Contributions volontaires. Pour s’inscrire au 5 à 7 et au vernissage : www.lamdd.org/rsvp

L’exposition : Réduction intentionnelle de paysage (R.I.P.) de Frédéric Dubois

L’exposition présente des paysages urbains avant et après l’abattage d’un arbre. Paradoxalement, ces arbres ont été supprimés pour des raisons esthétiques. Les vents violents, engendrés par la tempête automnale du 1er novembre 2013, ont laissé des marques et des cicatrices sur ces arbres les rendant indésirables aux yeux de leurs propriétaires. Ceux-ci ont commandé leur abattage au lieu de laisser le temps panser les plaies.

L’exposition a pour but de démontrer l’impact et l’importance des arbres sur le paysage urbain. Elle soulève également une question : peut-on vraiment, en tant que société, se permettre la perte d’un arbre pour des raisons purement esthétiques?

Merci!

La Maison tient à remercier l’Association des professionnels en développement durable (AProDD), Cataléthique, la Section du Québec du Conseil du bâtiment durable du Canada, le bistro Marius, Novae, Planetair, Copticom le Journal Métro et Alcoa, partenaire principal à la programmation.

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